Un grand merci au magazine LE VIF - L'EXPRESS pour ce bel article sur la galerie crée en 2014 et toute dédiée aux artistes Aborigènes des différentes régions de l'Australie, ici à Bruxelles. Le texte du journaliste Michel Verlinden met en perspective très justement ce mouvement artistique, dont les œuvres rayonnent dans la capitale de l'Europe. A découvrir ici ou en kiosque toute cette semaine.
Sur la photo, une superbe œuvre de l’artiste Daniel Walbidi.
On en parle dans la presse : MU in the City "Au cœur de Papunya Tula"
Une nouvelle fois, la galerie Aboriginal Signature présente une exposition pleine de surprises faisant découvrir l’art des différentes régions de l’outback australien. Les artistes de Papunya Tula sont les premiers à peindre sur toile dès 1969 les formes qu’ils tracèrent pendant des milliers d’années sur le sable rouge du désert.
On en parle dans la presse : Point Culture
À un jet de pierre de la Basilique de Koekelberg, dans une jolie bâtisse – ancienne imprimerie - de la rue Jules Besme (1081) discrètement signalée à l’extérieur par une simple enseigne, «se niche », depuis mi-2014, l’Aboriginal Signature, unique galerie de Belgique exclusivement dédiée aux arts des peuples aborigènes d’Australie….
Paris-Match : à Eurantica les artistes Aborigènes des communautés les plus recherchées
Merci au magazine Paris Match et à Diane Kervyn pour cet article et ses belles citations de la galerie au sujet des deux expositions d’art Aborigène que nous organisions il y a quelques semaine à Eurantica avec :
- les sculptures Ghost nets des artistes d’Erub
- et les peintures des grands artistes des déserts Australiens.
On en parle dans la presse : Mu-inthecity - Les artistes Martumili résilients
Merci à Muriel de Crayencour, rédactrice en chef de MU inthecity pour son bel article sur notre dernière exposition.
"La Canning Stock road fut percée au début du XXe siècle au cœur de l’Australie pour acheminer les troupeaux de bœufs de Perth à Darwin. Il s’agissait plus d’une piste chaotique traversant des milliers de dunes de sable qu’une route goudronnée. Pour identifier les trous d’eau et leur aménagement en puits, les Australiens entrèrent en conflit avec les aborigènes de Martumili, gardiens traditionnels de trois immenses déserts du centre de l’Australie : Gibson, Great Sandy et Tanami desert. Constituée de plus de 50 puits, la Canning Stock Road a ainsi perforé leur terre sacrée..."
Lire cet article complet sur les artistes Aborigènes Martu, ici sur Mu inthecity.
Libre Belgique : Art Aborigène des artistes Martu, Princes de trois déserts éloignés
Dans sa démarche de nous faire connaître la diversité des peintures Aborigènes, la galerie Aboriginal Signature Estrangin nous invite à découvrir sa nouvelle exposition "Voice of the custodians of the Homeland". 27 œuvres (rares) d'artistes de Martumili. Tels des princes ils avaient autorité sur un territoire immense... quatre fois plus grand que la Belgique !
On en parle dans la presse - Terre de Tjala
Merci à Muriel de Crayencourt, rédactrice en chef de MU inthecity pour son bel article sur notre dernière exposition.
Une fois encore, voici réunies des toiles de qualité muséale chez Aboriginal Signature. Bertrand Estrangin part chaque été explorer les confins des territoires aborigènes d’Australie pour en ramener des œuvres remarquables et étonnantes. Voici des artistes de la région de Tjala.
Rassemblés dans le Tjala Art centre, ces artistes aborigènes ont été finalistes de nombreux prix en 2017 comme l’Archibald Prize du meilleur portrait, le Wynne Prize pour le meilleur paysage au Musée de Sydney (Art Gallery of NSW), entre autres...
Magazine COLLECT : Celebrating the Earth
Merci au Magazine COLLECT et à Gwennaëlle Gribaumont pour leur article dans leur rubrique "UP TO ART GALERIES", page 20, dont je reprends ici un extrait.
"... Représentante officielle en Europe des plus grands centres d’art d’Australie, la Galerie Aboriginal Signature Estrangin réunit une sélection de 25 œuvres en provenance de Tjala. Cette coopérative réputée concentre plusieurs générations d’artistes qui se transmettent leurs savoirs millénaires. Cette transmission de flambeau entre anciens et personnalités émergentes est essentielle, souvent fragile, et contribue à perpétuer les connaissances dans les communautés. Les pièces présentées ont été réalisées par une douzaine d’artistes âgés de 40 à 90 ans. Chacun développe son itinéraire spécifique et son style inventif en fonction de son attachement géographique et des nuances propres à ses influences territoriales. Une exposition dont la réalisation a pris des allures de sacerdoce : le galeriste Bertrand Estrangin a en effet parcouru 4 800 kilomètres sur les pistes rouges du désert pour sélectionner artistes et œuvres, dont il garantit à 100 % la provenance éthique..." (gg)
Plus d'informaion sur le magazine COLLECT ici.